Quand on vous parle de "Chevalier noir" ou "Dark knight", vous pensez immédiatement au dernier Batman, ou éventuellement à un épisode de Bob morane.... eh bien non, ce terme dans l'esprit des spécialistes de l'espace, désigne bien autre chose...
26 novembre 1958 : Un mystérieux satellite en orbite
terrestre envoie des messages en phonie dans une langue incompréhensible, qui
sont captés un peu partout dans le monde. Les savants le baptisent Le Chevalier
Noir.
Cette même année, la société de
constructions aéronautiques Lockheed a enregistré "un signal télémétrique
inhabituel et non identifié" pendant plus de dix minutes, sur la fréquence
de 20.003mégacycles, dans l'après-midi du 26 novembre ! Il est dit que les signaux étaient semblables
- quoique pas exactement les mêmes - aux signaux télémétriques du Spoutnik. Le
premier satellite équipé d'un réémetteur radio embarqué était le Spoutnik 1 russe, lancé le 4 octobre 1957.
Le premier satellite américain à
relayer des communications s'appelait Project SCORE, lancé le 18 décembre 1958.
Il utilisait un magnétophone à cassette pour enregistrer, puis rediffuser, des
messages vocaux. Son premier
message diffusé a été :
« This is the President of the United
States speaking. Through the marvels of
scientific advance, my voice is coming to you from a satellite travelling in
outer space. My message is a simple one : Through this unique means I convey to
you and all mankind, America's
wish for peace on Earth and goodwill toward men everywhere. »
Pour en revenir au "chevalier noir", ce
mystérieux satellite était sur une orbite polaire rétrograde " satellite en marche arrière", chose que ni les USA, ni
l'URSS, ne savaient faire en raison de l'énorme déploiement d'energie que cela nécessite. Encore aujourd'hui, on se sert de la force centrifuge et de l'effet de fronde au lancer terrestre.. c'est pour cela que les sites de lancement sont le plus près possible de l'équateur ce qui procure un élan de 1666 km/h ( circonférence de la terre 40000km divisé par 24 heures). Ce satellite inconnu paraissait plusieurs fois plus grand et plus
lourd que tout ce que l'on pouvait lancer avec les fusées de l'époque(1960).
Ce satellite n'avais pas été lancé par l'homme, tout au moins... de l'époque.
Un jour, la lumière s'est faite sur la nature du message émis par ce satellite.
Le président de la société astronomique écossaise
décoda une série de messages comme simulant une carte
stellaire.
La carte était centrée sur "Epislon Bostes" ( constellation du Bouvier ) comme vue de la Terre, il y a 13000ans.
Les étoiles ne se déplacent pas vite, même après 13000
ans et "Epsilon Bostes" se déplace en notre direction, ainsi seulement les étoiles voisines semblent différentes après tout ce temps.
Est que le "chevalier noir" était la "carte de visite"
d'Etrangers?
Le 25 août 1960 un autre mystérieux satellite ( le même ?) était détecté, puis suivi au radar pendant plusieurs jours. La Grumman Aircraft Corporation, industrie aéronautique américaine bien connue, put le photographier, et toute tentative pour nier ou discréditer l'authenticité de ces photographies fut vaine.
Le 18 mai 1961, nouvelle découverte d'un objet mystérieux sur orbite terrestre ( encore lui ?). L'annonce surprend d'autant plus qu elle provient du Smithsonian Observatory, l'observatoire de Cambridge dans le Massachusetts, lequel participe activement au réseau mondial de détection des forces Aériennes. Le Smithsonian précisait à la presse : le satellite a été vu d'abord à Jupiter, en Floride... jusqu ici imprévu et insoupçonné. Il est très brillant et peut, dans certaines conditions, être vu à l oeil nu... Les diverses stations d observation sur toute la Terre ont été priées de nous aider à le suivre.L'observatoire alertait également tout son dispositif de caméras télescopiques.
En 1974, un autre mystérieux objet aurait été en orbite autour de la terre ( là c'est un autre objet puisque le chevalier noir est détectable au radar)). Aucun radar ne l'a vu. I
Actuellement on essaye d'obtenir une réponse parce qu'on pense que ce signal
n'est fait que pour attirer notre attention et que si on arrive à manipuler
l'objet émetteur, il nous donnera la science qui existait dans la constellation
du Bouvier et débitera
réellement son message....ou pas...
Pour ceux qui se demandent, comme moi, combien d'objets tournent autour de notre terre ajourd'hui, la ré ponse est là:
Il y a, à peu près 10 000 à 12 000 objets considérés comme des gros
débris, parmi ces 12 000 objets, il y a environs 3 000 gros satellites
et 2 000 gros étages de lanceurs, les 6 à 7 000 autres objets sont plus
petits, sangles, capots, gants et autres boîtes à outils...
Il y a 400 000 objets de 1 centimètre de diamètre, qui en cas de collision, ont une énergie cinétique équivalente à celle d'un coffre fort lancé à 100 km/h.
Et il y a 35 000 000 d'objets de la taille de 1 millimètre,
Le Chevalier Noir : une légende laissant des traces radars.
Sources : - déclarations officielles recensées, documents, et l’historique établi par Max Evans.
Première liste des satellites lancés qui se trouvait au NORAD. (Doc USAF 1961-déclassifiée)
Major Donald Keyhoe, L’hebdomadaire Aviation Week, L’US-Navy, Clyde Tombaugh et Lincoln LaPaz
1948 :
Les astronomes repèrent à proximité de la Terre un corps céleste de 3
km de diamètre. La Terre et Vénus semblent être ses pôles de direction.
Il semble se diriger vers l’une ou l’autre selon ses caprices. Il
apparaîtrait que ce corps évolue capricieusement et ne se comporte pas
comme un corps céleste homologué. Personne n’est capable de prévoir son
orbite. Ce corps planétaire inconnu possède d’ailleurs d’assez grandes
similitudes avec Icare, un astéroïde de 1 km de diamètre qui coupe sans
scrupules l’orbite des planètes dont, pourtant, l’orbite ne se croire
jamais. Il croise le chemin de la Terre tous les 200 jours et change
constamment de trajet. Malgré sa très grande vitesse, on pense qu’il
est influencé dans sa course par l’attraction des planètes.
- 1954 mai : Le major Donald Keyhoe annonce que 2
satellites artificiels gravitent autour de la Terre ; ils défient les
lois de la physique et leur orbite est très irrégulière. Il ne s’agit
pas d’engins fabriqués par l’homme.
24 août : L’hebdomadaire Aviation Week affirme que les 2 satellites
signalés en mai par Donald Keyhoe tournent sur eux-mêmes en restant à
une distance de 600 à 900 km de la surface terrestre.
1958
26 novembre : Un mystérieux satellite en orbite terrestre envoie des
messages en phonie dans une langue incompréhensible, qui sont captés un
peu partout dans le monde. Les savants le baptisent Le Chevalier Noir.
La société de constructions aéronautiques Lockheed a enregistré "un
signal télémétrique inhabituel et non identifié" pendant plus de dix
minutes, sur la fréquence de 20.003 mégacycles, dans l’après-midi du 26
novembre 1958 ! Il est dit que les signaux étaient semblables - quoique
pas exactement les mêmes - aux signaux télémétriques du Spoutnik I.
Cela, un mois avant le lancement de la fusée russe Miechta !
Le 1er février 1959,
de nouveaux signaux "inconnus" ont été captés par l’observatoire
allemand de Bochum, à 4 reprises, sur 20.004 mégacycles, encore ! Il ne
s’agissait point d’un nouveau satellite artificiel terrestre. Ces
signaux qui se traduisaient par les lettres "AAL", émises pendant une
durée de 0,6 seconde à des intervalles de 0,3 à 0,4 seconde, ont été
perçus de trois à six minutes après ceux du Spoutnik 3 et en étaient
parfaitement distincts par leur tonalité et par leur puissance. Dans la
nuit du 02 février, des signaux radiophoniques "mystérieux" ont été
captés par le Centre de Micro-Ondes de Florence.
Le 10 février 1960, une nouvelle circulait dans les
rédactions de tous les journaux du monde occidental, elle était même
diffusée sur les chaines d’information de la radio TSF.
"L’US-Navy annonçait que ses radars avaient repéré un mystérieux
satellite en orbite terrestre". Par une hasardeuse procédure, elle
avait même évalué la masse du satellite à 15 tonnes !
Il faut dire qu’en ce début de l’année 1960 les masses satellisées
étaient de l’ordre de 1500 kg en URSS et aux USA de l’ordre de 450 kg
au mieux. Alors vous pensez un satellite de 15 tonnes cela choquait les
esprits, même des plus distraits.
Autre bizarrerie, le satellite s’était inscrit sur une orbite dite
rétrograde ce qui serait une première pour le moins. Je ne me souviens
plus de l’inclinaison négative sur l’équateur, mais pour assumer une
orbite rétrograde, il fallait déjà maîtriser l’orbite polaire, et à
cette époque seule l’Amérique l’avait fait avec justement les
satellites Discovery dont on avait perdu un exemplaire six jours plus
tôt.
Pour suivre les satellites à la trace, et comme les radars n’étaient
pas encore bien adaptés à cette traque, les USA et l’URSS avaient monté
des réseaux d’observation optique dont le Moontrack était l’exemple
Américain. Ce réseau était constitué d’énormes caméras du nom de
Baker-Noon et il était complété par une multitude de petits
observatoires servis par des bénévoles, souvent des étudiants. Tout ce
petit monde scrutait le ciel nocturne et relevait la trace des
satellites sur fond d’étoiles et l’heure pour qu’ensuite ces données
alimentent un ordinateur chargé de calculer ce que nous connaissons
aujourd’hui sous le nom de paramètres orbitaux.
Aide : Première liste des satellites lancés qui se trouvait au NORAD.
(Doc USAF 1961-déclassifiée)
Justement le problème de cet énorme satellite c’était
sa furtivité, il était invisible à l’observation optique. La seule
explication pour justifier son invisibilité ne pouvait venir que du
fait qu’il devait être peint en noir.
Un satellite géant, si discret qu’il en était indétectable aux
instruments optiques, et qui était sur une orbite inédite, enfin sans
aucune revendication de paternité émise. Il fut de ce fait rapidement
baptisé : "Le Chevalier Noir" [Black Knight].
Tout le monde levait les yeux au ciel en ce demandant s’il n’était pas
là, au-dessus de nos têtes, prêt à nous lancer un quelconque maléfice.
En fait, en demandant à la Navy une confirmation de l’existence de ce
monstre, peut-être venu d’un autre monde pour surveiller nos
expériences atomiques ou pire, lancé par ces si méchants Russes, celle
ci nous confirma que l’observation radar avait été faite par des
stations que nous connaissons tous de nos jours, le fameux US Naval
Space Surveillance System le NSSS. Ce sont ces radars, installés au Sud
des USA et qui étaient couplés à la BMEW et au NORAD qui avaient bien
détecté le Chevalier Noir. Petit problème ; si les radars de la Navy
avaient bien vu ce gros satellite, l’USAF qui était tout aussi bien
dotée en matière de radar avouait n’avoir rien détecté. Rappelons que
les radars de l’USAF formaient le gros de la BMEW au NORAD. Il y avait
là comme un malaise côté sécurité et alerte aux USA. Radio Moscou, qui
nous jouait elle aussi sa petite musique de propagande, celle des pays
de l’Est, annonça tout de "go" que ces derniers temps l’URSS n’avait
procédé à aucun lancement de satellite en orbite terrestre ou lunaire !
1961
octobre : Des personnalités militaires haut placées au Pentagone
décident de placer en orbite autour de la Terre une couronne
d’aiguilles de cuivre. Ces millions d’aiguilles minuscules devaient
renvoyer sur Terre les signaux radio et faciliter les communications
militaires, ainsi à l’abri de tout brouillage. Mais une telle
réalisation compromettait gravement la radio-astronomie pour plusieurs
siècles. La présence de ces millions d’aiguilles pouvait donc engendrer
des conséquences désastreuses dénoncées par de nombreux savants du
monde entier et, pourtant, le projet reçoit l’approbation du
gouvernement.
21 octobre : Les américains placent sur une orbite polaire, à 3500 km
de la Terre, un satellite espion : Midas 4, portant 350 millions
d’aiguilles de cuivre. Juste après la séparation avec la fusée, le
nuage de petites aiguilles de cuivre se dissipe et commence à former un
anneau artificiel, qui aura des répercussions étonnantes, comme en
février 1950 : les émissions radiophoniques normales sont perturbées ou
s’évanouissent mystérieusement. Puis l’incroyable se réalise. Sur les
écrans des radars, un énorme objet inconnu fait irruption et, selon
McCarty lui-même : Comme un gigantesque aspirateur nettoya ces cieux en
quelques minutes de ces aiguilles. Malgré cet événement bouleversant,
un second envoi d’aiguille aura lieu et le même phénomène se produira.
Les millions de petites aiguilles sont absorbées par un phénomène
inconnu.
1980 : Le 30 avril 1980, vers 22 :30, j’ai observé
pendant environ 2 minutes un satellite extraordinaire, qui m’a amené à
conclure à son origine extra-terrestre !... C’était en fait un
"demi-ovni" ... puisqu’il reçut un début d’identification : je l’ai
fait entrer dans la catégorie des "chevaliers noirs", selon la
terminologie de la NASA ( et de ses "partenaires" militaires ). Je n’ai
rien à apporter de concret en supplément, uniquement ce récit que j’ai
vécu au bout de mes lunettes 7x50 .
Je n’étais pas seul : notre association astronomique organisait les
mardi et samedi de chaque semaine une soirée dans nos locaux et quand
la météo était favorable, nous allions installer nos lunettes et
télescopes dans la cour de récréation de l’école primaire où notre
siège élisait domicile. C’était fort pratique de disposer d’un site
(presque) sans lumières et ceci en pleine ville !... La (quasi pleine)
lune était levée, mais encore basse et sa lumière ne nous gênait pas :
les télescopes étaient braqués sur la planète Saturne. En effet,
l’évènement astronomique du "moment" était le "triangle d’or", la
réunion optique de Mars, Saturne et l’étoile Régulus formant pendant
plusieurs semaines un petit triangle isocèle. Cette formation ne se
réalisera à nouveau que dans 5000 ans !...
Au départ, ce fut un point lumineux très brillant qui arrivait sur
notre gauche, c’est à dire de l’Est et que nous avons présumé être
celui d’un avion de ligne et de son phare blanc d’atterrissage !...
Mais l’observation de son déplacement démentit cette première
identification (en quelques secondes) : c’était un satellite en orbite
équatoriale , à 35 degrés environ de Déclinaison Sud (le calcul en
latitude des astronomes).
Seulement, on avait un "problème" : ce satellite
suivait une orbite rétrograde, optiquement d’Est en Ouest, en sens
inverse de la rotation terrestre !... C’est une orbite très difficile,
inusitée : les satellites sont lancés dans le sens Ouest-Est pour
bénéficier de l’impulsion gravifique !... Quand je localisais le
satellite dans mes jumelles, je m’attendais à tout au plus à de la
lumière "grossie" ( 7 fois) , comme je l’avais constaté avec le
satellite US "Skylab" ("tombé" dans le Pacifique en 79) et plus tard
avec la belle "étoile" de la station "Mir" . Aussi ai-je découvert
stupéfait une silhouette oblonque, sorte de coupole aplatie, en fuseau
aux deux extrémités surmontée d’un "mât" !... Ma pensée à ce moment fut
pour la mémoire du journaliste Lucien Barnier, disparu l’année
précédente, qui émerveilla ma jeunesse avec son émission radio "Aux
frontières de l’Inconnu" : je me retrouvais devant un "péage" !...
L’engin se déplaçait avec "nonchalance", entouré d’un halo jaunâtre,
identique à celui nimbant le disque lunaire. Il "croisa"... optiquement
un avion ... dont je ne distinguais que les feux de position !...
L’engin était bien plus éloigné : son allure lente, "paresseuse" me
permit de faire une estimation : en comparant les vitesses habituelles
des satellites en orbite équatoriale, je pu conclure que l’engin à se
trouvait à des altitudes plus proches de l’orbite d’une heure (900 kms)
que celle de "Mir" ou de l’actuelle ISS (400 kms ) !... On peut me
reprocher cette parallaxe "sauvage", mais étant dépourvu de
l’indispensable théodolite, il m’était impossible de faire mieux !...
Cependant, l’énorme écart entre les engins orbitaux "habituels" et cet
étonnant objet était ... flagrant !... Je me suis demandé sous quel
aspect on apercevrait la Tour Eiffel si elle se retrouvait satellisée à
cette altitude !.... Pour finir, l’objet disparut dans le cône d’ombre
de la Terre, ce qui confirme son identification de satellite et il
n’est jamais repassé : ni au cours de la nuit, ni les nuits suivantes,
ni jamais !!!...
Mes compagnons conclurent que l’existence du "mât"
démontrait qu’il s’agissait d’un étage de fusée porteuse, une "épave"
qui allait vite retomber !... Mais cette explication ne tient pas :
l’étage de fusée porteuse qui se satellise est le plus petit et donc,
on ne le distinguera pas plus que le satellite !... Hors, celui que
j’aurais observé était énorme, de la taille (à l’extrême minimum) du
premier étage de la "Saturn 5" ... celui qui quitte le sol !... De
toutes façons, il aurait dû dès lors, être beaucoup plus proche, à
moins de 200 kms et sa coque portée au rouge avec le frottement de
l’atmosphère !... Dans les faits, il aurait été en flammes !...
La référence était le satellite "Skylab" qui avait
connu une longue "agonie" dans son inexorable descente vers la Terre et
nous le voyions traverser le ciel comme un bolide, sous forme d’un
"arbre de Noël" qui roule sur lui-même : la guirlande de lumières
provenait de son panneau solaire brisé, mais même aux altitudes les
plus basses (100 kms) on ne parvenait pas à distinguer le corps même du
"Skylab" ... qui faisait quand même ses 80 tonnes !... L’opinion de mes
compagnons me rappela les observations insolites de la NASA au début
des années 60 : un énorme satellite sur orbite polaire émettait un
signal radio incompréhensible. L’affaire fut promptement étouffée et
l’on conclut qu’il s’agissait de la fusée porteuse du satellite
"Discoverer VIII". Mais un nom est resté : celui du "chevalier
noir" !...
Tout comme furent "oubliées" les découvertes de Clyde Tombaugh et
Lincoln LaPaz sur deux "masses météoritiques" en orbite autour de la
Terre ... et aussi sec, disparues !... Sauf un nom, encore : les
"petites lunes" !...
La conclusion de mes compagnons n’était pas innocente :
notre club astro était en négociations avec le Conseil Général pour se
faire allouer une subvention pour construire un observatoire à l’écart
des lumières urbaines. Ils ne tenaient pas à tout compromettre en se
faisant assimiler à un "club de soucoupes volantes" !... J’ai donc
conservé mon témoignage confidentiel à l’époque. Ce qui n’est plus le
cas maintenant que l’observatoire est construit. De plus, j’ai depuis
rompu toute relation avec cette association (pour d’autres raisons).
J’ai conservé cependant un souci constant de
documentation et je n’ai jamais trouvé trace du moindre lancement de
satellite qui pourrait correspondre !... Pas plus d’ailleurs qu’un
retour de mission d’une sonde automatique (comme la capsule de la sonde
"Stardust" en 2006). Ce qui m’a amené à considérer que j’ai assisté au
passage d’un vaisseau extra-terrestre dans la haute atmosphère ! Max Evans.
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