Imprimer

 

Essai sur le classement des civilisations ( Basée sur l'échelle de Kardachev (en russe : Шкала Кардашева, Chkala Kardacheva), proposée en 1964 par l'astronome soviétique Nikolaï Kardachev, est une méthode théorique de classement des civilisations en fonction de leur niveau technologique et de leur consommation énergétique.

Le Type I de civilisation est caractérisée par :

 phaeton et satellites

- La mise en place de programmes de développement à l’échelle planétaire. Ces programmes globaux sont initiés et exécutés par des organismes internationaux.

- La mondialisation des échanges économiques ( nourriture, médicaments, biens de consommation, capitaux ). Eradication complète des réseaux de corruption (comme les diverses mafias par exemple).( Pas encore le cas chez nous....)  Abolition des régimes politiques totalitaires. Suppression de toutes les formes de fanatisme, qu’ils soient religieux, politiques, nationalistes, communautaristes, ethniques. Elimination de toute activité qui pourrait nuire à l’intérêt général de la civilisation. Les guerres ne doivent plus être que les mauvais souvenirs de l’enfance tumultueuse de la civilisation planétaire.

- Une gestion rigoureuse au niveau international de l’environnement et des ressources naturelles disponibles.

 - Une coopération sans faille de tous les membres de ce vaste édifice. Coopération qui suppose le respect de certaines valeurs spirituelles et morales, et la réalisation d’une vraie civilisation avec le développement de ses dimensions matérielles et « immatérielles ».

Une civilisation de Type I est théoriquement capable de visiter toutes les planètes de son système stellaire. Elle possède une bonne connaissance de l’univers extérieur à son système, sans toutefois être parvenue à l’explorer avec des vaisseaux habités.



2 °) Les civilisations stellaires de Type II

Les civilisations de Type II sont théoriquement capables de maîtriser l’énergie de leur étoile de référence .

Les besoins énergétiques de ce type de civilisation sont si importants que l’énergie disponible sur la planète-mère de référence n’est plus suffisante.

Pour survivre ces civilisations doivent donc exploiter les ressources fournies par leur étoile. Dyson a imaginé que des civilisations parvenues à ce niveau seraient sûrement capables de construire des sphères géantes entourant leur étoiles centrale et domestiquer de cette façon l’énergie émise par l’étoile.

En fait, il serait très difficile techniquement de construire une sphère complète autour du soleil qui serait capable de piéger toute l’énergie émise par notre étoile.

Cette sphère ressemblerait à une immense coquille rigide et creuse qui absorberait l’énergie dégagée par l’étoile (figure de droite : représentation schématique de la sphère). Le problème c’est qu’il est pratiquement impossible d’éviter un effondrement de la sphère au niveau des pôles où le poids de la structure n’est pas compensé par la force centrifuge. Plutôt qu’une sphère, Dyson finit par envisager la construction de plusieurs ceintures entourant le Soleil .

Une autre solution pour capter l’énergie de l’étoile centrale d’un système planétaire consisterait dans le déploiement autour de cette étoile d’un film très fin de plastique recouvert d’aluminium en forme de ballon.ezgif.com optimize1

Le film d’aluminium exercerait le rôle de miroir qui renverrait l’énergie de l’étoile vers une surface plus réduite. La légèreté de l’ensemble rendrait impossible l’effondrement de la structure aux pôles et le coût de sa construction serait très réduit.

L’idée de Dyson concernant les pièges à lumière est particulièrement audacieuse et elle a largement alimentée la littérature de science-fiction, mais rien ne prouve qu’une civilisation de Type II ait pu construire une structure aussi vaste.

Dyson reconnaissait lui-même qu’aucune de ces civilisations n’avait été encore détectée. Selon sa théorie, une civilisation de Type II qui exploiterait la production totale d’énergie d’une étoile laisserait nécessairement s’échapper une fraction importante de cette énergie sous forme de chaleur, c’est-à-dire sous forme de rayonnement infrarouge facilement observable depuis la Terre.

Toute civilisation de Type II est donc théoriquement une source de rayonnement infrarouge de puissance comparable à la luminosité d’une étoile. Malheureusement, les astronomes qui travaillent aujourd’hui dans l’infrarouge n’ont pas trouvé de sources de rayonnement dont on puisse penser qu’il s’agit d’objets artificiels.

En ce qui concerne l’aire d’expansion de ces civilisations rien n’interdit de penser qu’elles ont commencé à coloniser tous les systèmes stellaires voisins de leur étoile. Par ailleurs, en admettant que le phénomène ovni est explicable par l’hypothèse extraterrestre, il découle logiquement de cette hypothèse que les ovnis sont peut être des engins pilotés par les représentants d’une civilisation de Type II. Il est aussi hautement probable que ces civilisations de Type II ont rencontré, lors de leur quête de nouveaux horizons cosmiques, des représentants d’une civilisation de Type III.


3°) Les civilisations galactiques de Type III.

Les civilisations galactiques sont théoriquement en mesure d’exploiter les ressources en énergie de tous les systèmes stellaires d’une galaxie.

Cette extension aux autres systèmes stellaires s’explique par le fait que l’énergie libérée par une seule étoile n’est plus suffisante pour satisfaire leurs besoins colossaux en énergie.

Les représentants du Type III sont capables de se déplacer n’importe où dans leur galaxie de référence (pour nous la Voie Lactée). Nous pouvons imaginer qu’une civilisation de ce type soit parvenue à bâtir une sorte de « fédération galactique » regroupant en son sein de nombreuses civilisations de Type II.

Cet empire se présenterait-il sous la forme d’un pouvoir central exercé par une seule civilisation souveraine régissant une communauté de civilisations vassales ? Type conquérant-vainqueur.

Où bien existerait-il sous la forme d’une vaste fédération de civilisations autonomes entretenant des rapports amicaux sans autorité supérieure ? ( Oui. )

galaxytransRien ne nous empêche d’admettre au moins l’existence d’une sorte de réseau de civilisations étendu à toute la Galaxie dont les membres auraient tissé des liens profonds entre eux.

Une civilisation de Type III est nécessairement très vieille,  elle doit avoir derrière elle des millions d’années d’évolution technologique.

Les réalisations techniques d’une telle civilisation sont parfaitement inconcevables. (Genre Stanley Kubrick « 2001 : l’odyssée de l’espace »: Des monolithes noirs qui influencent l’évolution de l’espèce humaine).

. Les représentants d’une civilisation de Type III seraient de parfaits candidats pour incarner le phénomène ovni.

 

 

 

 

4°)Les civilisations d’amas galactiques de Type IV.

Pourquoi s’arrêter au Type III de civilisation ? (échelle de Kardachev) Ce type de civilisation serait-il le summum de l’organisation des sociétés intelligentes dans l’Univers ?

Il existe sûrement plus de galaxies dans l’Univers que d’étoiles dans la Voie Lactée, qui en compte pourtant déjà de 200 à 400 milliards d'étoiles et au minimum 100 milliards de planètes....

extraterrestres collaborateurs des humainsAlors nous pouvons imaginer des sociétés organisées regroupant des dizaines, voir des centaines, de galaxies ?

Si une civilisation de Type III a résolu le difficile problème des déplacements dans le continuum d’espace/temps à l’intérieur de notre galaxie, pourquoi ne parviendrait-elle pas à quitter la Voie Lactée et à explorer les galaxies du Groupe Local ? En changeant d'itinéraire, d'univers ou en prenant des raccourcis (Cf J.P Petit)

Certes les distances intergalactiques sont beaucoup plus importantes que les distances interstellaires mais si le principe de base des déplacements dans le continuum d’espace/temps n'est pas le même  pour les courtes et les longues distances, alors rien n’interdit de penser que de tels voyages entre les galaxies soit possible et que la vitesse de la lumière qui entre parenthèses n'est pas une constante mais dépends du fluide ou de la matière dans laquelle elle circule, peut être contournée en tant que barrière.

Après tout, si nous prenons l’exemple des avions à réaction civils qui sillonnent en tous sens les cieux de notre planète, le voyage long courrier ne pose pas plus de problèmes techniques qu’un vol court courrier.

Si une civilisation est capable de voyager d’un bout à l’autre de notre galaxie, elle devra franchir une distance beaucoup plus élevée pour rejoindre une autre galaxie.

Est-il plus difficile à un éventuel vaisseau spatial d’une civilisation de Type IIII d’aller d'un point à un autre de l'univers, qu’à un avion de ligne commercial d’aller d'un point à un autre de la terre ? Si la technique des voyages spatiaux interstellaires est aussi bien maîtrisée que la technique des voyages aériens terrestres, la réponse est non. On peut même imaginer le voyage sans déplacement ( Cf Stargate le film) en utilisant les trous de vers que la physique quantique commence à aborder.

Les représentants d’une civilisation de Type III pouvaient être à l’origine du phénomène ovni ainsi, ceux d’une civilisation de Type IV peuvent aussi l’être.


5°)La Civilisation Universelle de Type V.

mentalPar définition il n’existerait qu’une seule civilisation de Type V, puisque cette civilisation occuperait la totalité notre Univers.

 Cette unique civilisation de Type V serait le type ultime, le sommet et l’achèvement de toute civilisation.

Elle couronnerait l’ensemble des autres types de civilisation par sa perfection interne et son degré ultime d’achèvemen en regroupant en son sein toutes les galaxies de tous les amas galactiques.

Nous arrivons ici à l'aboutissement dans ce classement qui nécéssiterait peut être même un changement de paradygme ou de niveau vibratoire.

Si nous convenons que le Type 0 ( Nous, en cette fin 2019 on doit être à 0,2 environ....) représente le degré le plus bas dans l’échelle de l’évolution des civilisations rien n’interdit de supposer qu’à l’autre bout de cette échelle il existe un type ultime.

Dans ce cas, ce type serait  le degré le plus élevé d’évolution sur cette échelle.

Ces êtres  maîtriseraient parfaitement l’espace et le temps, la matière et l’énergie. Ils disposeraient d’une technologie qui pour nous relèverait de la magie ou des pouvoirs miraculeux. Soit nous les percevrions comme des êtres quasiment surnaturels, des dieux, des créatures fabuleuses,  ou bien nous ne les percevrions pas du tout car trop décalés par rapport à nos sens terrestres de notre corps physique actuel... Mais ceci est une autre histoire.....

paradygme

Catégorie : Ultra
Affichages : 4046