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3i atlas

La comète interstellaire, originellement nommée A11pl3Z et à présent appelée 3I/ATLAS, a été observée pour la première fois par le télescope ATLAS (Asteroid Terrestrial impact Last Alert System, système d'alerte ultime d'impact d'astéroïdes) de l’observatoire El Sauce de Río Hurtado, au Chili.
Le 1er juillet 2025, les scientifiques qui dirigent une unité de défense planétaire ont aperçu un objet scintillant dans l’ombre de Jupiter, à près de 675 millions de kilomètres de la Terre. Il ne s’agissait de toute évidence ni d’un astéroïde qui menaçait la Terre, ni d’une comète banale. En quelques heures, il est apparu clairement que ce voyageur ne provenait même pas de notre système solaire. Son orbite était trop abrupte et sa vitesse trop élevée. Les astronomes en ont vite conclu qu’il s’agissait d’un objet interstellaire, un explorateur d’une autre étoile.
Ces entités sont, pour le moment, d’une rareté singulière. Cet objet interstellaire n’est que le troisième confirmé. Il a été repéré totalement par hasard, alors qu’il pénétrait dans notre système. Les scientifiques auront donc tout le loisir de l’étudier pendant les quelques mois que durera sa visite, et peut être, d’en découvrir les nombreux secrets.
« Les astronomes du monde entier tourneront leur télescopes, grands ou petits, vers cet objet […] et nous fourniront des informations sur son système planétaire d’origine », explique Sarah Greenstreet, astronome de l’université de Washington.
Ce que l’on sait au moment ou j’écris ces lignes.
Il s'agit véritablement d’un visiteur interstellaire.
Ses dimensions sont 50kms de long sur 10kms de large
Le fait qu’il ait effectué une correction de trajectoire juste après avoir été bien identifié ( vérifié et revérifié par tous les observatoires: il ne s’agit pas dune erreur) penche pour la sonde guidée habitée ou non. Il frôlera Jupiter, Mars et Vénus pour aller ensuite derrière le soleil ( par rapport à la terre) ou il deviendra inobservable... Je tiendrai cette page à jour en fonction des données obtenues.
Mise à jour au 30092025:
Les radiotélescope ont détecté quelque chose qui a tout changé: 3iAtlas émet un signal à la fréquence de six giga hertz et la même fréquence que celle que nous utilisons pour communiquer avec l'espace lointain, mais l'important n'est pas la fréquence, mais la structure du signal, il ne s'agit pas d'un bruit caractéristique des sources radio naturelles. Il s'agit d'une séquence organisée d'impulsions avec une régularité mathématique des nombres 3,5,7,11,13, 17, 23 puis une pause et à nouveau la même séquence de nombres premiers les nombres premiers sont les langages universel des mathématiques, toutes les civilisations intelligentes dans l'univers devraient les connaître. C'est la première chose que nous utilisiserions pour démontrer notre intelligence lors d'un contact avec une intelligence extraterrestre. Et maintenant quelqu'un les utilise pour communiquer avec nous en 30 ans le CDI n'avait jamais rien vu de tel cela ne peut pas être une coïncidence, La probabilité qu'un telle signale soit d'origine naturelle est inférieure à 1/1 000 000 000, mais ce n'est que le début après la séquence de nombre simple. La deuxième parie du signal commence Elle est plus complexe. Elle ressemble à des coordonnées dans un espace tridimensionnel, nos cryptographes travaillent à son décryptage depuis déjà plusieurs jours, les résultats préliminaire indique un système dans la constellation du signe à une distance de 27 années lumière. Comprenez ce que cela signifie 3I Atlas peut être un messager d'une civilisation située à seulement 27 a.l. de la terre. À l'échelle. cosmique ce sont nos voisins et ils nous ont envoyé une sonde. Le signal a été analysé d'une d'une d'un point de vue technique. Le signal à une source d'environ 10 GW ( dix gros réacteurs nucléaires) . Un objet artificiel peut il fournir une telle puissance, mais le plus intrigant c’est la synchronisation temporelle des signaux. Les messages radio sont transmis exactement en synchronisation avec les corrections de variation de l'objet. Ce n'est pas une coïncidence quelqu'un ou quelque chose à l'intérieur de 3I atlas coordonne les interfaces de navigation avec les corrections temporelles de communication. La question n'est pas de savoir si c'est un objet artificiel mais de connaître ses intentions. il a étét demandé à Space X s'il était capable de lancer une mission non pas pour une défense, mais un contact direct dans les 72 heures avec des équipes de pointe de communication, des instruments scientifique et éventuellement des systèmes de défense au cas où les intentions ne seraient pas amicales, mais Elon Musk, croit personnellement que nous avons affaire à une mission pacifique. Réfléchissez si une citation avancée veut vous détruire pourquoi nous avertir de son arrivée par des signaux radio, elle pourrait arriver discrètement et attaquer sans prévenir. Il s'agit d'une tentative de contacts. Peut-être la première tentative de contact Pacifique avec une intelligence extraterrestre dans l'histoire de l'humanité, nous devons y répondre dignement. Toutes les agences terrestres ont été contactés pour créer une coopération internationale. Nous devons agir comme une seule espèce lorsque nous rencontrons des représentons d'une autre espèce, intelligente. les signaux émis ont la précision d'une horloge atomique, ce qui est impossible pour une structure naturelle. Bien évidemment, ils nous ont étudié avant d'envoyer leurs messages. Cela témoigne du niveau avancé de développement technologique de la civilisation expéditrice sur l'échelle de Kardachev, ils’agit au minimum d'une civilisation de type un capable de contrôler les ressources énergétiques de toute une planète. 3i atlas n'est pas seul, à une distance de 500 unités astronomique au-delà de l'arbitre de Pluton, nos télescope à longue portée ont détecté quatre objets présentant des caractéristiques similaires. Ils se déplacent dans un ordre géométrie stricte tou en maintenant des distances constantes les uns par rapport aux autres, il s'agit d'une flotte, une escadre de vaisseau interstellaire. Ils attendent à la distance de sécurité, prêt soit engagé à un dialogue pacifique, soit à défendre leur messager, le commandant du centre spatial à américain, a été très clair dans son exposé. Nous n'avons pas à faire à une sonde isolée mais une mission d'une ampleur inconnue, notre tâche est d'assurer la sécurité de la terre mais aussi de ne pas manquer la plus grande opportunité de l'histoire, c'est pourquoi il a été décidé d'accélérer la préparation de la mission Starship vers 3I Atlas, mais ça ne sera pas une mission scientifique ordinaire, nous enverrons des représentants pour le premier contact diplomatique officiel avec une civilisation extraterrestre, l'équipage sera international et
comprendra un astronaute américain, un cosmonaute russe, un spécialiste européen et un ingénieur chinois, et ce qui est essentiel, un linguistique et un diplomate spécialement formé à la communication Inter espèces.le plus important pour nous, sera de démontrer nos intentions pacifiques et de coopérer, nous incluront dans la cargaison de la mission, le disque d'or deux point zéro, version numérique de la que la NASA envoyé avec les sondes voyageurs dans les années 70. Mais désormais ils contiendra l'ensemble des informations sur l'humanité, mais aussi des preuves, mathématiques de votre volonté d'engager un dialogue galactique tout ce qui prouve notre niveau de développement scientifique et notre volonté de communiquer sur un pied d'égalité avec des civilisations plus avancées, mais nous nous préparons également à des scénarios moins optimistes. L'impulsion électromagnétique générée par 3iAtlas pourrait perturber gravement les systèmes de communication de la terre. Eb revanche, le fait, même que cette civilisation utilise des signes radio pour rentrer en contact, indique qu'elle comprend notre niveau de développement, et qu’ils sont prêts à communiquer dans un langage que nous comprenons. C'est un signe de sagesse et de patience, des affirmations extraordinaires, nécessite des preuves extraordinaires, mais l’évidence est là: les signaux structurés, lles corrections de trajectoire, les carté physique. Nous sommes à l'aube du plus grand évènement, de l'histoire de l'humanité, le premier contact confirmé avec une intelligence extra terrestre, certaines personnes craignent en tel contact, ils ont peur qu'une civilisation plus avancée puisse menacer notre survie, à mon avis tout cette civilisation, capable de voyager entre les Etoile a déjà résolu les problèmes qui nous tourmente aujourd'hui: la crise énergétique, le changement climatique, les guerres, la pauvreté, etc. tout ceci devient sans importance à un niveau de développement technologique, suffisamment élevé une telle civilisation avec des intetions belliqueuses aurait pu nous détruire sans même s'approcher du système solaire, rayonnement gamma dirigé trou noir artificiel, arme relativise, elle a accès à des technologies que nous commençons seulement à comprendre. Ils envoient une sonde avec des signaux mathématiques, témoins de leur orientation pacifique et de leur désir d'établir un dialogue. Nous devons saisir cette opportunité, tous les représentants des religions terrestre ont soumis leurs soutient, à un contact avec d'autres formes de vies, intelligentes le principal étant de les accueillir à cœur ouvert.
Pour rappel:Seuls deux autres objets interstellaires ont été découverts jusqu’à présent. Le premier, Oumuamua a été repéré en 2017 et était particulièrement étrange. Un objet long, en forme de cigare, qui se comportait comme une comète mais qui ne montrait aucun signe d’activité cométaire. Les astronomes n’ont pas eu beaucoup de temps pour l’étudier, sa détection ayant eu lieu au moment où il quittait notre système solaire. Les théories à propos de ses origines fusent de toute part, allant de plausibles (morceau d’une planète désintégrée, comète extrêmement étrange) à beaucoup moins plausibles (un vaisseau spatial extraterrestre).
Puis, en 2019, les astronomes ont repéré un deuxième objet, 2I/Borisov, qui ressemblait et se comportait comme une comète. Les astronomes sont parvenus à le repérer alors qu’il pénétrait dans notre système solaire et ont pu l’examiner de plus près.
Il est difficile de se faire une idée de ce à quoi ressemblent les objets interstellaires de manière générale en ne se basant que sur deux observations. Les astronomes espèrent que ce chiffre augmentera grâce à l’exploration exhaustive du ciel que mènera l’observatoire Vera C. Rubin pendant dix ans qui débutera plus tard dans l’année. Un troisième objet interstellaire reste tout de même une bonne surprise pour le moment.
Ce nouveau visiteur a été détecté par l’unité ATLAS (Asteroid Terrestrial impact Last Alert System, système d'alerte ultime d'impact d'astéroïdes), un réseau de quatre télescopes autonomes financés par la NASA et conçu pour repérer les menaces potentiellement dangereuses pour la Terre que font peser les astéroïdes. La station ATLAS, au Chili, a repéré cet intrus au cours d’un examen de routine.
Au début, « nous n’avons rien suspecté d’étrange sur son orbite », commente Larry Denneau, l’un des principaux investigateurs d’ATLAS, rattaché à l’université d’Hawaï. Mais tout a rapidement changé lorsque les astronomes d’autres télescopes ont repéré l’objet, et que les scientifiques ont pu déterminer sa trajectoire avec plus de précision.
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- Écrit par Gibé
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Warp drive
Le département de la Défense des États-Unis rend public un rapport sur le voyage supraluminique et le Warp Drive
Le département de la Défense des États-Unis a financé une série d’études concernant des technologies aérospatiales avancées, et notamment une étude rendue publique concernant la distorsion spatio-temporelle (Warp Drive) afin d’effectuer des voyages supraluminiques. La possibilité d’utiliser l’énergie noire et les dimensions supplémentaires pour distordre l’espace est évoquée, mais selon le physicien Sean Carroll, ces technologies ne pourraient être effectives avant au moins un millier d’années.
À la fin du mois d’août 2008, l’US Department of Defense a embauché plusieurs dizaines de chercheurs afin d’explorer des pistes technologiques ultra-avancées pour l’aérospatiale, incluant des méthodes de propulsion et de camouflage inédites. Deux chercheurs, le physicien Richard K. Obousy (Icarus Interstellar) et l’astrophysicien Eric W . Davis (consultant à la NASA) rendent un rapport de 34 pages le 2 avril 2010, intitulé « Warp drive, énergie sombre et manipulation des dimensions supplémentaires ». Celui-ci vient d’être rendu public par la Defense Intelligence Agency.
Ce n’est pas la première fois qu’Obousy travaille sur le voyage par distorsion spatiale. Depuis les années 2000, il a publié un certain nombre d’études concernant la faisabilité d’un tel moyen de déplacement. Les auteurs du rapport suggèrent que les scientifiques ne seraient pas si loin d’appréhender les dimensions supplémentaire et la nature de l’énergie noire (suspectée être à l’origine de l’accélération de l’expansion de l’univers).
Le Warp Drive est un moyen théorique de propulsion supraluminique utilisant la distorsion de l’espace-temps. Crédits : ElixirOfKnowledge
« Le contrôle de ces dimensions spatiales supplémentaires pourrait permettre de manipuler technologiquement la densité de l’énergie noire et pourrait aboutir au développement de technologies de propulsion exotiques ; notamment le Warp drive. Des voyages entre les planètes de notre système solaire ne prendraient alors que quelques heures plutôt que des années, et des voyages vers les systèmes stellaires locaux ne prendraient que quelques semaines plutôt que des centaines de milliers d’années ».
Cependant, Sean Carroll, physicien théoricien spécialiste de l’énergie noire et de la relativité générale au Caltech, se montre moins optimiste et plus nuancé. « Ce sont des morceaux et des pièces de physique théorique habillés comme s’ils étaient vraiment reliés à de potentielles applications dans le monde réel, alors que ce n’est pas le cas. Ce n’est pas pour autant quelque chose de fou ou un discours de Maharishi affirmant que nous allons utiliser l’énergie spirituelle pour voler — c’est de la vraie physique. Mais ce n’est pas quelque chose qui pourra être utilisé en ingénierie à court terme, et peut-être même probablement jamais ».
L’origine de l’étude concernant la distorsion spatiale provient d’un document militaire concernant l’évaluation technologique des menaces extérieures ; c’est-à-dire un document aidant l’armée américaine à évaluer et prédire les nouvelles technologies développées par les pays/organisations « ennemis », y compris celles de nature tout à fait théorique. Cette étude s’inscrit également dans une série de rapports sur les technologies avancées destinés au Programme d’Application de l’Aérospatiale Avancée et des Systèmes d’Armement. Ce programme incluait notamment le Programme sur l’Identification des Menaces de l’Aviation Avancée (destiné notamment à évaluer les événements d’objets volants non-identifiés, rapportés par le personnel militaire).
Les auteurs de l’étude font appel à diverses notions physiques bien établies dans la communauté scientifique, parmi lesquelles l’énergie noire, la relativité générale et la déformation géométrique de l’espace-temps, l’énergie quantique du vide et l’effet Casimir, ainsi que la théorie M — la théorie unifiant les 5 théories des supercordes et prédisant l’existence de 7 dimensions supplémentaires qu’une technologie comme le Warp drive pourrait exploiter. La combinaison de ces différentes notions permet d’aboutir, selon eux, à une propulsion supraluminique. « Si l’on souhaite maintenir l’idée réaliste de l’exploration interstellaire dans le délai d’une vie humaine, alors un véritable changement de paradigme concernant la propulsion spatiale est nécessaire », expliquent les auteurs.
L’étude inclut un tableau comportant différentes destinations et les temps de voyage théorique vers celles-ci en utilisant la distorsion spatiale, afin de voyager à 100 fois la vitesse de la lumière dans le vide. Selon les auteurs, le Warp drive pourrait fonctionner en manipulant l’énergie noire de manière à dilater une dimension supplémentaire, qui formerait alors une bulle ; une telle bulle pourrait contenir un vaisseau ou un volume de 100 m3. Une contraction de l’espace-temps en avant du vaisseau et une dilatation à l’arrière, pourraient ainsi permettre de propulser l’ensemble bulle-vaisseau dans une sorte de « tube d’espace-temps », sans techniquement dépasser la vitesse de la lumière.
Grâce à la métrique d’Alcubierre, en contractant l’espace-temps à l’avant d’un vaisseau et en le dilatant à l’arrière, le voyage supraluminique devient possible.
Sean Carroll rappelle qu’il ne s’agit pas là d’une idée démente mais bien d’un véritable concept physique développé par le physicien mexicain Miguel Alcubierre en 1994 : la métrique d’Alcubierre. Cette dernière implique une déformation ondulatoire de l’espace-temps, qui se contracte dans une direction et se dilate dans une autre.
« Vous ne pouvez pas aller plus vite que la lumière, mais vous pouvez imaginer distordre l’espace-temps et donner l’impression que vous voyagez à une vitesse supraluminique » explique Carroll. « Si vous souhaitez rejoindre Alpha Centauri par exemple, vous pouvez vous demander : puis-je distordre l’espace-temps et me retrouver à côté d’Alpha Centauri afin que cela me prenne des jours plutôt que des dizaines de milliers d’années ? La réponse est oui, vous pouvez théoriquement le faire ».
Mais selon Carroll, les auteurs exagèrent leur analyse. « Il y a quelque chose appelé Warp drive, il y a des dimensions supplémentaires, l’effet Casimir et, l’énergie sombre — tous sont de véritables concepts physiques. Mais il n’y a aucune chance pour que quelqu’un de notre époque ou des 1000 prochaines années construisent quelque chose en rapport direct avec ces concepts, que ce soit pour des questions de défense ou pour d’autres raisons ».
Les problèmes posés par la distorsion spatio-temporelle
Carroll indique que le Warp drive est actuellement déconnecté de la réalité physique, car personne ne connaît la nature de l’énergie noire, ne sait la créer ou encore la stocker. En outre, la quantité d’énergie noire requise pour faire voyager un volume de 100 m3 vers Alpha Centauri en seulement quelques années est phénoménale.
« Si vous annihiliez la Terre pour la transformer en pure énergie, cela correspondrait à la quantité d’énergie qu’il vous faudrait, tout en sachant qu’en réalité, c’est de l’énergie à pression négative qu’il vous faut, et que personne n’a d’indice sur comment en produire » explique Carroll. « C’est vraiment un discours démesuré, ce n’est pas comme s’il suffisait de dire « Oh, nous avons besoins de meilleurs transistors ! » ; c’est quelque chose de complètement en dehors du domaine de la faisabilité ».
Le Warp drive nécessite une importante quantité d’énergie noire (énergie à pression négative) pour fonctionner. Or, les physiciens ne connaissent pas encore la nature de l’énergie noire, ni comment la produire ou la stocker. Crédits : Lawrence H. Ford et Thomas A. Roman
Les auteurs sont conscients de l’aspect spéculatif de leur hypothèse et reconnaissent que la quantité d’énergie négative requise est effectivement incroyable ; ils ajoutent qu’une « compréhension complète de l’énergie noire pourrait prendre encore plusieurs années ». L’étude suggère tout de même qu’une « découverte expérimentale majeure au LHC ou que des développements concrets de la théorie M, pourraient conduire à un véritable bond quantique dans la compréhension de l’énergie noire, et peut-être aider au développement d’innovations technologiques ».
Outre les lacunes scientifiques concernant l’énergie noire et la théorie M, le Warp drive comprend en lui-même des risques. En effet, la distorsion spatio-temporelle pourrait créer une instabilité à l’allumage du vaisseau et entraîner une perte de contrôle totale. À l’arrêt du vaisseau et de la distorsion, le rayonnement de Hawking pourrait incinérer le vaisseau tout entier. Enfin, la décélération pourrait transformer les poussières et gaz alentours en particules de haute énergie, à l’origine d’une onde de choc disloquant le vaisseau.
Sources : Rapport sur le Warp Drive, Business Insider
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Trou noir galaxie
Au centre de la Voie lactée, il y a un trou noir supermassif. Sagittarius A* (Sgr A*), c'est son petit nom. Mais en est-on bien sûr ? Personne n'est jamais allé le voir de près, après tout. Les astronomes ont déduit sa présence des effets gravitationnels qu'il exerce sur les objets qui peuplent notre galaxie. Sur les étoiles dites S, notamment, des étoiles proches de lui. Et aujourd'hui, des chercheurs du Centre international d’astrophysique relativiste (Italie) suggèrent que ces effets pourraient aussi bien -- voire mieux -- être expliqués par la présence non pas d'un trou noir, mais d'une masse de matière noire.
C'est le comportement étrange d'un objet appelé G2 -- dont les astrophysiciens ignorent encore la nature exacte -- alors qu'il passait à proximité de Sagittarius A* qui a éveillé leurs soupçons. G2 est en effet miraculeusement sorti indemne de sa rencontre avec le supposé trou noir supermassif au centre de la Voie lactée.
Sur cette vue de la Voie lactée, la position de notre Soleil et le centre de la Galaxie dans lequel se trouve Sagittarius A*, un trou noir supermassif… ou un amas de matière noire.
Sur cette vue d’artiste de la Voie lactée, la position de notre Soleil et le centre de la Galaxie dans lequel se trouve Sagittarius A*, un trou noir supermassif… ou un amas de matière noire.
Des comportements cohérents avec la présence de matière noire
L'observation pourrait être expliquée par le fait que G2 ne soit pas qu'un simple nuage de gaz. Sa structure aurait en effet pu être maintenue intacte par la présence cachée en son sein d'une ou deux étoiles. Mais les chercheurs du Centre international d'astrophysique relativiste, eux, l'expliquent d'une tout autre façon. Sgr A* serait constitué d'une concentration de matière noire de quelque 500.000 masses solaires. Des particules exotiques que les physiciens appellent des « darkinos ». Maintenus en équilibre par leur attraction gravitationnelle propre. Ils formeraient ainsi une boule aux contours flous dont l'attraction gravitationnelle n'aurait pas été assez forte pour détruire G2.
Et ce qui donne de la consistance à cette théorie, c'est qu'elle permet aussi de reproduire les comportements des 17 étoiles dites S les mieux décrites par les astronomes. Enfin, lorsque les chercheurs donnent aux darkinos la bonne masse -- un neuvième environ de celle d'un électron -- et la bonne vitesse. Alors, pour confirmer cette nouvelle hypothèse, il faudra tout de même attendre que leur modèle reproduise également d'autres observations faites à travers l'Univers. Comme expliquer pourquoi les galaxies tournent plus vite qu'elle ne devraient par rapport à la masse qu'on leur connait.
Ce trou noir supermassif quatre millions de fois plus massif que le Soleil. Entouré d’un disque incandescent de matière en mouvement, ce puits sans fond d’espace-temps est habituellement masqué par un voile de gaz, de poussière et d’étoiles en orbite.
Mais les scientifiques, qui utilisent un réseau mondial de télescopes connu sous le nom d’Event Horizon Telescope (EHT), ont enfin pu jeter un coup d’œil au cœur de la galaxie, et ont dévoilé hier la toute première image de la silhouette de ce trou noir. Les observations, réalisées en 2017, ont été décrites dans une série d’articles scientifiques publiés récemment dans la revue Astrophysical Journal Letters.
« Aujourd’hui, le Event Horizon Telescope est ravi de partager avec vous la première image directe du doux géant situé au centre de notre galaxie : Sagittaire A* », a déclaré Feryal Özel, de l’université de l’Arizona, lors d’un point presse organisé pour annoncer cette réalisation. « Je l’ai rencontré il y a vingt ans et, depuis, je l’aime et j’essaie de le comprendre. Mais jusqu’à présent, nous ne disposions pas de l’image directe pouvant confirmer que Sagittaire A* était bel et bien un trou noir. »
L’image montre un anneau asymétrique de matière rayonnante entourant une fosse d’obscurité : l’ombre du trou noir connu sous le nom de Sagittaire A*. La photographie s’approche de l’horizon du trou noir, le point de non-retour au-delà duquel les étoiles, les planètes, la poussière et même la lumière sont perdues à jamais.
« La lumière qui est trop proche du trou noir, assez proche pour être avalée par lui, finit par traverser son horizon et ne laisse derrière elle qu’un vide sombre en son centre », a expliqué Özel.
Cette dernière image d’Event Horizon Telescope est le fruit d’une collaboration mondiale de plus de 200 scientifiques. En 2019, cette dernière avait dévoilé une image d’apparence similaire d’un immense trou noir au centre de M87, une galaxie située à 50 millions d’années-lumière. La photographie marquait la première fois que l’ombre d’un trou noir avait été directement observée. Les deux images ont été réalisées en combinant les données de huit observatoires du monde entier, transformant ainsi la Terre en un immense télescope.
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Le mystérieux objet bleu sur Mercure…
Le mystérieux objet bleu sur Mercure…Des astronomes de la NASA ont découvert une mystérieuse structure bleue de forme qui semblerait artificielle sur la surface de Mercure…
Ce qui est un très grand progrès dans la résolution d'image obtenue des astres extérieurs, mais on a toujours des photos de la lune en noir et blanc avec une résolution de deux pixels sur trois...
L’exploration spatiale se développe de plus en plus et grâce à elle on découvre de nouvelles formations dont certaines sont des plus étranges. En effet, récemment des chercheurs ont découvert une étrange anomalie sur la surface de Mercure.
Sur une photo envoyé par une sonde quelque chose d’étrange a été découvert. Le sol de la planète est uniforme. On ne voit pratiquement qu’une couleur brunâtre qui semble recouvrir toute la surface. Mais, au milieu d’un cratère, on peut voir un curieux objet de couleur bleu. En analysant un peu plus le cliché, et son ombre, on devine que l’objet doit être de forme artificielle.
Pour certains chercheurs dans le domaine de l’ufologie, cette structure serait artificielle. Il s’agirait peut être d’un engin extraterrestre venant d’anciens astronautes. Peut-être un appareil qui se serait écrasé. Il pourrait aussi s’agir d’une sorte de bâtiment. Pour ma part ça ressemble à snoopy, le premier module lunaire...
Pour certains, il s’agirait de la preuve de l’existence de créatures extraterrestres. Il pourrait aussi s’agir d’une formation rocheuse faite d’un matériaux différent du sol avoisinant.
Malheureusement, sans photo plus précise ou exploration, on ne pourra émettre que des hypothèses…
Snoopy, le module de remontée vers l'orbite lunaire des missions Apollo (ici celui d'Apollo 17 qui est sur une orbite héliocentrique depuis quarante-deux ans.)
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