1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | 32 | 33 | 34 | 35 | 36 | 37 | 38 | 39 | 40 | 41 | 42 | 43 | 44 | 45 | 46 | 47 | 48 | 49 | 50 | 51 | 52 | 53 | 54 | 55 | 56 | 57 | 58 | 59 | 60 | 61 | 62 | 63 | 64 | 65 | 66 | 67 | 68 | 69 | 70 | 71 | 72 | 73 | 74 | 75 | 76 | 77 | 78 | 79 | 80 | 81 | 82 | 83 | 84 | 85 | 86 | 87 | 88 | 89 | 90 | 91 | 92 | 93 | 94 | 95 | 96 | 97 | 98 | 99 | 100 | 101 | 102 | 103 | 104 | 105 | 106 | 107 | 108 | 109 | 110 | 111 | 112 | 113 | 114 | 115 | 116 | 117 | 118 | 119 | 120 | 121 | 122 | 123 | 124 | 125 | 126 | 127 | 128 | 129 | 130 | 131 | 132 | 133 | 134 | 135 | 136 | 137 | 138 | 139 | 140 | 141 | 142 | 143 | 144 | 145 | 146 | 147 | 148 | 149 | 150 | 151 | 152 | 153 | 154 | 155 | 156 | 157 | 158 | 159 | 160 | 161 | 162 | 163 | 164 | 165 | 166 | 167 | 168 | 169 | 170 | 171 | 172 | 173 | 174 | 175 | 176 | 177 | 178 | 179 | 180 | 181 | 182
Vous aimez ce site?
Articles
-
Autres
-
Histoire.
-
News
-
Tech
-
Ultra
- 3i atlas
- Anomalie mer baltique
- Apollo 20: mythe ou réalité?
- Base lunaire
- Divulgation cosmique
- Edito Février 2019
- Essai sur le classement des civilisations
- La vérité est en train d'exploser sur Internet
- La vie sur MARS
- Lac Baïkal
- Le chevalier noir.
- Le mystérieux objet bleu sur Mercure…
- Michael E. Salla
- Momies de Nazca
- Mort de Max Spiers
- Nazca: piste d'atterrissage?
- Nettoyage spatial
- Osirunet
- Oumuamua
- Ovni sur la lune
- OVNIS et EDF.....
- Ovnis Saturne
- Photos de la lune.
- Point NEMO
- Qui a construit la lune ?
- Révélations de Jean-Claude Bourret
- Stargate_Remote viewing
- Tablettes Mayas
- Trou noir galaxie
- Warp Drive
-
Videos
Visiteurs depuis Avril 2005
Home
3i atlas
La comète interstellaire, originellement nommée A11pl3Z et à présent appelée 3I/ATLAS, a été observée pour la première fois par le télescope ATLAS (Asteroid Terrestrial impact Last Alert System, système d'alerte ultime d'impact d'astéroïdes) de l’observatoire El Sauce de Río Hurtado, au Chili.
Le 1er juillet 2025, les scientifiques qui dirigent une unité de défense planétaire ont aperçu un objet scintillant dans l’ombre de Jupiter, à près de 675 millions de kilomètres de la Terre. Il ne s’agissait de toute évidence ni d’un astéroïde qui menaçait la Terre, ni d’une comète banale. En quelques heures, il est apparu clairement que ce voyageur ne provenait même pas de notre système solaire. Son orbite était trop abrupte et sa vitesse trop élevée. Les astronomes en ont vite conclu qu’il s’agissait d’un objet interstellaire, un explorateur d’une autre étoile.
Ces entités sont, pour le moment, d’une rareté singulière. Cet objet interstellaire n’est que le troisième confirmé. Il a été repéré totalement par hasard, alors qu’il pénétrait dans notre système. Les scientifiques auront donc tout le loisir de l’étudier pendant les quelques mois que durera sa visite, et peut etre,d’en découvrir les nombreux secrets.
« Les astronomes du monde entier tourneront leur télescopes, grands ou petits, vers cet objet […] et nous fourniront des informations sur son système planétaire d’origine », explique Sarah Greenstreet, astronome de l’université de Washington.
Ce que l’on sait au moment ou j’écris ces lignes.
cest:
-soit un météore naturel de 25 kms de diamètre;
-soit un objet plus petit et artificiel mais rayonnant 10GW (dix réacteurs nucléaires) de lumière.
Le fait qu’il ait effectué une correction de trajectoire juste après avoir été bien identifié
( vérifié et revérifié par tous les observatoires: il ne s’agit pas dune erreur) penche pour la deuxième hypothèse.
Il frôlera Jupiter, Mars et Vénus pour aller ensuite derrière le soleil ( par rapport à la terre) ou il deviendra inobservable...
Je tiendrai cette page à jour en fonction des données obtenues.
Pour rappel:Seuls deux autres objets interstellaires ont été découverts jusqu’à présent. Le premier, ‘Oumuamua a été repéré en 2017 et était particulièrement étrange. Un objet long, en forme de cigare, qui se comportait comme une comète mais qui ne montrait aucun signe d’activité cométaire. Les astronomes n’ont pas eu beaucoup de temps pour l’étudier, sa détection ayant eu lieu au moment où il quittait notre système solaire. Les théories à propos de ses origines fusent de toute part, allant de plausibles (morceau d’une planète désintégrée, comète extrêmement étrange) à beaucoup moins plausibles (un vaisseau spatial extraterrestre).
Puis, en 2019, les astronomes ont repéré un deuxième objet, 2I/Borisov, qui ressemblait et se comportait comme une comète. Les astronomes sont parvenus à le repérer alors qu’il pénétrait dans notre système solaire et ont pu l’examiner de plus près.
Il est difficile de se faire une idée de ce à quoi ressemblent les objets interstellaires de manière générale en ne se basant que sur deux observations. Les astronomes espèrent que ce chiffre augmentera grâce à l’exploration exhaustive du ciel que mènera l’observatoire Vera C. Rubin pendant dix ans qui débutera plus tard dans l’année. Un troisième objet interstellaire reste tout de même une bonne surprise pour le moment.
Ce nouveau visiteur a été détecté par l’unité ATLAS (Asteroid Terrestrial impact Last Alert System, système d'alerte ultime d'impact d'astéroïdes), un réseau de quatre télescopes autonomes financés par la NASA et conçu pour repérer les menaces potentiellement dangereuses pour la Terre que font peser les astéroïdes. La station ATLAS, au Chili, a repéré cet intrus au cours d’un examen de routine.
Au début, « nous n’avons rien suspecté d’étrange sur son orbite », commente Larry Denneau, l’un des principaux investigateurs d’ATLAS, rattaché à l’université d’Hawaï. Mais tout a rapidement changé lorsque les astronomes d’autres télescopes ont repéré l’objet, et que les scientifiques ont pu déterminer sa trajectoire avec plus de précision.
« Pour le moment, il est difficile d’estimer sa taille », confie Sarah Greenstreet. En se basant sur la lumière du Soleil qu’il renvoie, l’objet pourrait mesurer entre 10 et 25 kilomètres de long. C’est une taille beaucoup plus importante que celle de ‘Oumuamua, qui mesurait environ 400 mètres de long, ou que 2I/Borisov, long de 1 kilomètre. Mais la coma de la comète et la distance actuelle à laquelle elle se trouve rendent incertaines les estimations de la taille de son noyau solide.
- Détails
- Écrit par Gibé
- Catégorie : Ultra
- Affichages : 20
Ovni sur la lune
Un Ovni a été filmé récemment par la sonde Artémis.
Décollant d'un cratère, on le voit s'élever progressivement vers l'espace.
Déjà, le cratère semble renfermer au fond une structure artificielle dont les angles excluent toute origine naturelle...
La projection de l'ombre de l'ovni suggère une forme cubique... Dans le vide: pas de frottement donc tout à fait plausible..
La vidéo ici ---> ovni décollant de la lune
- Détails
- Écrit par Gibé
- Catégorie : Ultra
- Affichages : 9306
Nettoyage spatial
Privateer est une discrète entreprise crée par le co-fondateur d’Apple, Steve Wozniak. Celle-ci, spécialisée dans le traitement et le recyclage des déchets spatiaux, vient d’engager un conseiller scientifique en chef. https://www.privateer.com/
C’est en septembre dernier que Steve Wozniak annonce la création de son entreprise. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’en un mois celle-ci commence déjà à prendre forme. L’objectif principal est annoncé : rapidement proposer une prise en charge des centaines de milliers de déchets spatiaux en orbite autour de la Terre. L’entreprise vient d’embaucher l’une des personnes qui dirigeront cet effort ambitieux, en nommant l’aérodynamicien Moriba Jah au poste de conseiller scientifique principal.
Ainsi Wozniak a récemment déclaré : « Nous sommes très fiers qu’un scientifique et un humain du calibre de Moriba se joigne à l’équipe de Privateer. Sa connaissance de ce problème n’est dépassée que par son envie de le résoudre« . En effet, le moins que l’on puisse dire, c’est que Moriba Jah est un passionné en la matière. C’est un expert dans la gestion des déchets spatiaux, très engagé dans son domaine. Il fait également partie de ceux qui exhortent l’humanité à faire quelque chose à ce sujet, et ce depuis longtemps.
Privateer : l’entreprise du co-fondateur d’Apple veut lutter contre la pollution spatiale
« Mon travail a été fortement impliqué dans la recherche scientifique et technologique axée sur la sûreté, la sécurité et la durabilité de l’exploitation de notre orbite« , a déclaré Jah dans le même communiqué. Pour le scientifique, il est important de laisser aux générations futures un « ciel » aussi propre que possible. Il ajoute ainsi : « Je réponds à un appel à l’action en rappelant à l’humanité son contrat intergénérationnel […] et que l‘action est meilleure lorsqu’elle naît de la compassion«
Jah a précédemment travaillé comme navigateur de vaisseau spatial au Jet Propulsion Laboratory de la NASA. Il a travaillé sur un certain nombre de projets d’exploration sur Mars, notamment la mission Mars Reconnaissance Orbiter ainsi que sur le Mars Exploration Rovers, qui a envoyé Spirit et Opportunity sur la planete rouge. Privateer prévoit de lancer son premier satellite, un minuscule cubesat hérissé de 42 capteurs, en février et son second deux mois plus tard, selon TechCrunch. Une autre entreprise, Astroscale, prévoit également de nettoyer l’orbite terrestre de ses déchets dans un futur proche.
- Détails
- Écrit par Gibé
- Catégorie : Ultra
- Affichages : 5531
Trou noir galaxie
Au centre de la Voie lactée, il y a un trou noir supermassif. Sagittarius A* (Sgr A*), c'est son petit nom. Mais en est-on bien sûr ? Personne n'est jamais allé le voir de près, après tout. Les astronomes ont déduit sa présence des effets gravitationnels qu'il exerce sur les objets qui peuplent notre galaxie. Sur les étoiles dites S, notamment, des étoiles proches de lui. Et aujourd'hui, des chercheurs du Centre international d’astrophysique relativiste (Italie) suggèrent que ces effets pourraient aussi bien -- voire mieux -- être expliqués par la présence non pas d'un trou noir, mais d'une masse de matière noire.
C'est le comportement étrange d'un objet appelé G2 -- dont les astrophysiciens ignorent encore la nature exacte -- alors qu'il passait à proximité de Sagittarius A* qui a éveillé leurs soupçons. G2 est en effet miraculeusement sorti indemne de sa rencontre avec le supposé trou noir supermassif au centre de la Voie lactée.
Sur cette vue de la Voie lactée, la position de notre Soleil et le centre de la Galaxie dans lequel se trouve Sagittarius A*, un trou noir supermassif… ou un amas de matière noire.
Sur cette vue d’artiste de la Voie lactée, la position de notre Soleil et le centre de la Galaxie dans lequel se trouve Sagittarius A*, un trou noir supermassif… ou un amas de matière noire.
Des comportements cohérents avec la présence de matière noire
L'observation pourrait être expliquée par le fait que G2 ne soit pas qu'un simple nuage de gaz. Sa structure aurait en effet pu être maintenue intacte par la présence cachée en son sein d'une ou deux étoiles. Mais les chercheurs du Centre international d'astrophysique relativiste, eux, l'expliquent d'une tout autre façon. Sgr A* serait constitué d'une concentration de matière noire de quelque 500.000 masses solaires. Des particules exotiques que les physiciens appellent des « darkinos ». Maintenus en équilibre par leur attraction gravitationnelle propre. Ils formeraient ainsi une boule aux contours flous dont l'attraction gravitationnelle n'aurait pas été assez forte pour détruire G2.
Et ce qui donne de la consistance à cette théorie, c'est qu'elle permet aussi de reproduire les comportements des 17 étoiles dites S les mieux décrites par les astronomes. Enfin, lorsque les chercheurs donnent aux darkinos la bonne masse -- un neuvième environ de celle d'un électron -- et la bonne vitesse. Alors, pour confirmer cette nouvelle hypothèse, il faudra tout de même attendre que leur modèle reproduise également d'autres observations faites à travers l'Univers. Comme expliquer pourquoi les galaxies tournent plus vite qu'elle ne devraient par rapport à la masse qu'on leur connait.
Ce trou noir supermassif quatre millions de fois plus massif que le Soleil. Entouré d’un disque incandescent de matière en mouvement, ce puits sans fond d’espace-temps est habituellement masqué par un voile de gaz, de poussière et d’étoiles en orbite.
Mais les scientifiques, qui utilisent un réseau mondial de télescopes connu sous le nom d’Event Horizon Telescope (EHT), ont enfin pu jeter un coup d’œil au cœur de la galaxie, et ont dévoilé hier la toute première image de la silhouette de ce trou noir. Les observations, réalisées en 2017, ont été décrites dans une série d’articles scientifiques publiés récemment dans la revue Astrophysical Journal Letters.
« Aujourd’hui, le Event Horizon Telescope est ravi de partager avec vous la première image directe du doux géant situé au centre de notre galaxie : Sagittaire A* », a déclaré Feryal Özel, de l’université de l’Arizona, lors d’un point presse organisé pour annoncer cette réalisation. « Je l’ai rencontré il y a vingt ans et, depuis, je l’aime et j’essaie de le comprendre. Mais jusqu’à présent, nous ne disposions pas de l’image directe pouvant confirmer que Sagittaire A* était bel et bien un trou noir. »
L’image montre un anneau asymétrique de matière rayonnante entourant une fosse d’obscurité : l’ombre du trou noir connu sous le nom de Sagittaire A*. La photographie s’approche de l’horizon du trou noir, le point de non-retour au-delà duquel les étoiles, les planètes, la poussière et même la lumière sont perdues à jamais.
« La lumière qui est trop proche du trou noir, assez proche pour être avalée par lui, finit par traverser son horizon et ne laisse derrière elle qu’un vide sombre en son centre », a expliqué Özel.
Cette dernière image d’Event Horizon Telescope est le fruit d’une collaboration mondiale de plus de 200 scientifiques. En 2019, cette dernière avait dévoilé une image d’apparence similaire d’un immense trou noir au centre de M87, une galaxie située à 50 millions d’années-lumière. La photographie marquait la première fois que l’ombre d’un trou noir avait été directement observée. Les deux images ont été réalisées en combinant les données de huit observatoires du monde entier, transformant ainsi la Terre en un immense télescope.
- Détails
- Écrit par Gibé
- Catégorie : Ultra
- Affichages : 5860